Donald Trump n’est pas seulement un homme d’affaire décomplexé qui fait partie des 1 % d’américains qui cumulent plus de richesses que 50 % des américains réunis. Dans le pays du capitalisme, et face à une menace terroriste qui s’accroît de jour en jour, le personnage fanfaronnant de Donald Trump commence à plaire. Le candidat à l’investiture du Parti Républicain multiplie pourtant les bévues confondant Islam et terrorisme, faisant amalgame sur amalgame. Mais l’américain moyen n’y voit que du feu… Après Barack Obama, le risque d’être brutale.
De l’autre côté on a un Rick Ross qui continue d’enchaîner les sorties dans les bacs. Après “Mastermind”, et “Hood Billionaire“, voilà que Roozay sort “Black Market”. Avec trois albums en un an, Rick Ross est un peu le Jul américain. Le problème c’est qu’il n’a pas le même écho dans les bacs. Il enchaîne autant les sorties que les ratés… Ses chiffres de vente pour “Black Market” ont de quoi redonner le peps à son ennemi intime 50 cent.
L’album est passé tellement inaperçu que l’on a mis une semaine à se rendre compte que Rick Ross menaçait Donald Trump dans son single « Free Entreprise » : « J’assassine Trump comme si j’étais Zimmerman, maintenant accepte ces mots comme s’ils étaient [sortie de la bouche] d’Eminem »
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