Booba, voilà presque deux mois que les médias francophones ne parlent plus que de lui. Chaque jour ou presque, on est bombardés d’interviews, reportages, chroniques, et autres articles.
Pour ne citer que les plus marquants ou plus connus: le Grand Journal de Canal+, Touche Pas à Mon Poste sur D8, le Parisien, les Inrockuptibles, Libération, ou encore le 20 Minutes. Tout récemment, c’est même Groland, l’émission culte de Canal, qui le parodiait ; une petite consécration en soi, l’aboutissement d’une campagne rondement menée1.
De son côté, la blogosphère se lâche également sur le personnage, en continu. Les réseaux sociaux sont parsemés de citations tirées de ses écrits, et l’homme a plusieurs fois figuré au top des sujets les plus discutés sur Twitter, entre autres2.
À chaque entrevue, on lui évoque ses rivaux, et son rapport avec le public. « Je suis le numéro 1 », répond-il constamment. Confiance en soi. Mais confiance justifiée, confirmée. Le 4 décembre dernier en effet, les chiffres tombaient. Comme des citoyens qui se rendent aux urnes pour élire celui qu’ils considèrent comme leur meilleur représentant, les amateurs de Rap (et/ou de musique en général) s’étaient déplacés en masse pour soutenir celui qu’ils voient comme le « Boss du Rap Game ». Entendez : le plus fort de la compétition. Booba.
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BOOBA. GRAMMAIRE DU FUTUR