Booba : Mon oseille ? Je le claque (interview Bienpublic)

Booba : Mon oseille ? Je le claque (interview Bienpublic)

Booba : Mon oseille ? Je le claque (interview Bienpublic), avant son concert au Zénith de Dijon, le 6 avril prochain, le duc de Boulogne a accepté de décrypter avec nous son dernier bijou : “Futur”.

Vous débarquez à Dijon au début du mois d’avril. À quel type de show le public doit-il s’attendre de votre part ?

« Il est certain qu’on va mettre le feu. Le concert sera un savant mélange de mes plus gros tubes passés que tout le public connaît par cœur et les morceaux plus récents tirés de Futur. Le mix risque d’être intéressant. »

Parlez-nous un peu de votre dernier opus, Futur, sorte d’ovni dans le petit monde du rap français ?

« La seule chose que je peux dire, c’est que c’est un album qui a été très travaillé tout en étant particulièrement spontané. Il est bourré de trucs et ne rentre pas dans les standards actuels puisqu’il est en avance sur son temps. Comme à chaque fois, j’ai laissé libre cours à mon inspiration en faisant et en disant tout ce que je kiffais. Durant son élaboration, j’ai écouté énormément d’instrus pour ne pas me tromper. Je voulais prendre mon temps pour au final sortir un produit très réfléchi. »

Contrairement à vos anciens albums, où des titres phares comme Ma couleur, Pitbull ou Au bout des rêves se détachaient de l’ensemble, on a l’impression que la force de Futur est vraiment collective. Êtes-vous d’accord avec cet avis ?

« Je pense que dans Futur, chaque morceau est un peu comme un album à lui tout seul. Tous les sons ont vraiment leur propre touche. Même s’il s’écoute en boucle du fait de sa variété, il y a une vraie ligne de conduite avec une identité propre. »

Un petit mot sur Therapy qui s’est chargé quasi entièrement de la production de l’album ?

« Il a vraiment fait un super-boulot en proposant des sonorités très originales qui envoient du lourd. »

Source et interview complète sur le lien suivant : http://www.bienpublic.com/loisirs/2013/03/29/mon-oseille-je-le-claque