Squeezie : Thierry Ardisson critique les « Imposteurs », une idée volée

Squeezie : Thierry Ardisson dézingue les Imposteurs, une idée volée

Thierry Ardisson a livré son avis très tranché sur le programme les « Imposteurs » de Squeezie. L’émission fait un véritable sur Youtube depuis plusieurs mois à chaque épisode mis en ligne, mais que l’animateur télévisé déplore le fait que le Youtubeur n’a pas eu une idée originale et simplement repris le concept d’une ancienne émission.

Thierry Ardisson n’est visiblement pas un grand de fan de Squeezie qu’il avait invité dans une émission il y a quelques années. Questionné par le média Puremédias, le producteur français s’est exprimé sur le fait suivre ce qu’il se passe sur Internent pour rechercher des idées et évoqué le programme phare du moment du Youtubeur français le plus populaire contre qui il a tenu des propos très critiques. « J’ai vu le format de “l’imposteur” avec Squeezie. Ce sont des trucs qui ont été faits il y a cinquante ans par Jacques Antoine. Je ne trouve pas d’idées que j’ai envie de voler. »

Ardisson reproche à Squeezie de s’être inspiré d’autres programmes qui ont déjà été réalisés il y a plus de 40 ans, dans les années 60 et va jusqu’à dire que le vidéaste a volé le concept.« Ils font des émissions de télé chez eux, ça marche, tant mieux pour eux. À 15 millions de vues, ça doit rapporter un peu d’argent. C’est parce qu’ils sont jeunes que je vais vous dire que c’est bien. Il y a des jeunes qui font des trucs bien, mais ça, c’est un concept qui date des années 60 ». L’animateur télé précise toutefois que d’autres Youtubeur ont des idées plus appréciables en reprenant les programmes des États-Unis, par exemple Kyan Khojandi avec Hot Ones, « C’est un format américain, mais tu ne peux pas le faire non plus à la télévision hertzienne. C’est pourtant une bonne idée » explique Thierry Ardisson.

Administrateur et éditeur pour le site 13or-du-hiphop, technicien en charge des serveurs et du bon fonctionnement du site internet, passionné du hip hop américains et français depuis le début des années 2000.