Un homme abattu devant le commissariat de Barbès à Paris, un énorme dispositif policiers a été mis en place afin d’éviter un sur-attentat dans le quartier. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme qui s’est dirigé vers des policiers dans le 18e arrondissement avant d’être abattu « aurait agi seul ». Mais « on ne peut pas exclure qu’il y ait un certain nombre de complicités dans la préparation voire même dans la commission des faits », a prévenu l’Intérieur.
« Il faut être extrêment prudent : ce n’est pas parce que quelqu’un crie Allah Akbar en tentant de s’en prendre à des fonctionnaire de police qu’il était en train de pener une action terroriste au sens pénal du terme », a averti Pierre-Henri Bradet, le porte-parole du ministère de l’Intérieur, rappelant l’exemple récent de Valence.
L'homme aurait attaqué au couteau des policiers en faction en criant « Allah Akbar ». L'un d'entre eux a été blessé.
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— Le Parisien TV (@LeParisienTV) 7 Janvier 2016