Kaaris rêve de violemment torturer Booba en garde à vue
Kaaris s’est amusé à imaginer ce qu’il ferait à Booba en garde à vue s’il était policier lors de son passage dans le Morning de Difool sur la radio Skyrock ce vendredi matin pour assurer la promotion de son nouvel album “Château Noir“, la réédition de son album sorti en septembre dernier “2.7.0” disponible depuis ce 26 mars 2021.
Riska vient de présenter son nouveau projet de comprenant 11 nouveaux titres inédits intégralement réalisés par Therapy, quelque temps avant la parution de cette réédition il avait promis de faire un retour aux sources en collaborant de nouveau avec les producteurs du classique d’Or Noir, ce qui a offert un projet très sombre aux auditeurs, une sortie accompagnée également du visuel du morceau “Équipage” réalisé par Cedrick Cayla disponible sur la chaine Youtube du rappeur. Pour défendre ce nouvel opus, Kaaris a présenté le projet dans les locaux de Skyrock dont une séquence à interpellé les auditeurs de la radio lorsque Difool a questionné le rappeur de Sevran, “Un gars connu que tu mettrais direct en garde à vue si t’étais keuf ?“, “Tout le monde sait qui c’est“ a-t-il répondu mort de rire avec un large sourire mais sans citer son nom tout le monde a bien compris qu’il s’agit de Booba dont l’organisation avortée en 2019 de l’octogone avait enflammé la presse et le public.
Kaaris a ajouté qu’il serait prêt à lui mettre carrément dix années de garde à vue, “Que des tests de Wuhan, avec l’écarteur. Un grand écarteur. Des clés à molette” a-t-il ajouté très amusé d’imaginer la scène tout faisant référence au test anal utilisé en Chine pour dépister le COVID-19, “Tu transformerais ses fesses en boîte à outils dis donc” a ensuite commenté Difool avant de conclure la séquence qui ne devrait pas manquer de faire réagir Booba, ce dernier n’avait pas hésite à lâcher un tacle à Riska dans son dernier album avec le single “L’olivier” ou encore lors de son passage télévisé dans l’émission de Cyril Hanouna et avec son t-shirt “Armand” sur Tik Tok.
