Magali Berdah accuse Booba d’avoir corrompu la justice suite à sa mise en examen pour diffamation

Magali Berdah accuse Booba d'avoir corrompu la justice suite à sa mise en examen pour diffamation

Booba veut finir Magali Berdah !

Nouvelle victoire de Booba face à Magali Berdah qui ne devrait pas manquer de jubiler après l’annonce de la mise en examen de la patronne de Shauna Events. Cette décision de justice fait suite à la plainte du rappeur pour diffamation. Très touchée, elle s’est exprimée publiquement dans une vidéo postée sur ses réseaux.

Depuis plusieurs semaines, Magali Berdah fait part de son mal-être face aux dénonciations de Booba et du harcèlement qu’elle subit sur Internet, elle vient encore d’être affecté par un nouveau coup dur, la justice a décidé de la mettre en examen en raison d’une plainte l’interprète du single Scarface. Elle est « mise en examen en matière de diffamation publique » dans cette affaire tout comme le Parisien, le journal serait en effet également concerné par cette plainte pour ses propos dans son interview dans le journal il y a un an, ils encourent jusqu’à 45 000 euros d’amende.

La justice soutient encore le rappeur français !

“C’est une procédure bâillon pour me faire taire”, affirme Magali Berdah dans sa vidéo mise en ligne sur Twitter. Elle a aussi pris la parole dans une interview pour le média Factuel pour témoigner sur ce dossier. “J’ai reçu un courrier il y a un mois avec un avis de mise en examen en matière de diffamation publique Quand j’ai reçu ça, j’étais dans un état catastrophique”, décrit la boss de Shauna Events complétement dégoutée puis déplore, “Je suis mise en examen pour avoir supplié un homme d’arrêter de me harceler”.

La déclaration de Magali Berdah dans son entretien avec Le Parisien au mois de mai 2022, “Je t’en supplie, arrête de tweeter, tu me mets en danger de mort, mes enfants et moi (…) je t’en supplie, arrête” est à l’origine de la plainte de Booba qui n’a pas encore commenté cette nouvelle, mais ne devrait pas manquer l’occasion d’afficher sa satisfaction comme il a pris l’habitude de le faire dans sa lutte contre les influenceurs. Pour sa défense, la femme d’affaires assure que B2O aurait payé le montant de 16 000 euros afin de s’assurer que cette procédure en justice soit lancée et qu’une enquête débute.