Médine fustige Julien Odoul avec une punchline magistrale

Médine fustige Julien Odoul avec une punchline magistrale

Médine dénonce le comportement honteux de l’élu RN

Souvent pris à partie par les rappeurs français comme Booba, Kaaris, Sadek ou encore Lacrim pour ses propos et pour s’en être pris à une femme voilée lors d’une séance du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté en 2019, Julien Odoul se retrouve en centre d’une nouvelle polémique aujourd’hui à laquelle Médine vient de réagir.

Le rappeur Havrais termine le politicien !

Le quotidien français Libération vient de révéler ce vendredi le contenu d’un enregistrement d’une réunion datée du mois de septembre 2019 dans lequel le candidat du Rassemblement National à la région Bourgogne-Franche-Comté rigole avec ses conseillers du suicide d’un éleveur qui a été retrouvé pendu dans son hangar. « L’agriculteur qui se pend au faîtage de son hangar a-t-il laissé une trace ? S’est-il pissé dessus ?« , déclare Jacques Ricciardetti avant que Julien Odoul n’ajoute « Est-ce que la corde est française ?«  sous les fous rires de se collègues.

Un internaute a partagé sur Twitter le lien de l’article de Libération avec le commentaire, « Dans un enregistrement, la tête de liste du RN en Bourgogne Franche-Comté, Julien Odoul, rigole du suicide d’un éleveur, pendu dans son hangar «S’est-il pissé dessus ?» «Est-ce que la corde est française ?» », un tweet que Médine a relayé sur son compte en adressant un tacle au membre du Rassemblement national avec le message « Ça soutien les paysans comme la corde soutien le pendu« .

Le rappeur du Havre s’était déjà amusé de la mise en examen de Julien Odoul au mois d’octobre 2019, alors qu’il avait fait parler de lui pour avoir demander à une femme voilée de quitter la salle car elle portait un foulard lors d’un conseil régional, l’homme politique connu pour ses proses positions hostiles contre l’islam a été poursuivi en justice pour recel de détournement de fonds publics dans l’affaire des emplois fictifs européens en raison de son poste de « conseiller spécial » de Marine Le Pen, un emploi financé illégalement par les contribuables.