Booba détruit les excuses de l’agresseur de Cergy

Booba détruit les excuses de l'agresseur de Cergy

B2O s’amuse des remords de l’auteur de l’agression de Cergy

Alors que Booba est habitué à commenter les actualités du moment en France via le compte Instagram de La Piraterie, Le Duc de Boulogne n’avait pas fait part d’une remarque sur le scandale de lundi dernier suite à la diffusion d’une vidéo d’un incident ayant eu lieu à Cergy devant un restaurant de la ville, dans la séquence publiée un individu s’en est pris à un livreur avant de proférer des nombreuses injures racistes à l’encontre d’une femme qui a filmé la scène.

Le DUC septique sur les excuses

La séquence avait fait la Une des médias toute la semaine dernière et des nombreux rappeurs français s’était exprimé face aux images, Dosseh, Gims, Rohff ou en Dinos étaient tous sortis du silence sur les réseaux sociaux pour condamner cet acte raciste mais Booba était lui de son côté resté silencieux. L’auteur des insultes a finalement été rapidement retrouvé par la police, l’individu âgé de 24 ans a été placé en détention provisoire à l’isolement en attendant son procès fixé le 8 juillet prochain mais avant son arrestation il avait posté un long message pour présenter ses excuses en demandant pardon aux personnes blessées. Booba a donné son avis sur les excuses de l’agresseur et n’est pas convaincu par les explications, «Je suis désolé de ce qui s’est passé, je suis désolé d’avoir pété un plomb à ce niveau, je n’ai pas de soucis avec ni les noirs ni blancs ni les jaunes ni les bleus…», décrit-il notamment dans son texte rempli de fautes relayé par B2O dans une story en ajoutant les légendes Il est désolé et C’est le zopmeeyyyy ainsi que plusieurs émojis mort de rire tout en zoomant pour faire un gros plan sur le visage de l’individu. Le rappeur français est clairement septique face aux explications et n’a pas hésite à le faire savoir.

Une plainte a été déposée l’encontre du jeune homme par le livreur et la femme insultée, il est poursuivi pour les faits de “violences volontaires ayant entrainé une incapacité totale de travail supérieure à 8 jours, à raison de l’appartenance à une ethnie, nation, race ou religion et d’injure publique à raison de l’ethnie, nation, race ou religion et d’apologie de crime contre l’humanité”.